Vous étiez 780 collègues présents à la cantine le 6 juin pour la réunion d’information intersyndicale consacrée à la restitution du droit d’alerte éco.
Bravo pour cette présence massive !
Et maintenant qu’est-ce qu’on fait ??
Quid de la GAE2 ? Quid de la charge ?
Tous vos élus ont des chiffres
Venez les entendre !!!
Le projet de charges et d’effectifs par domaine / établissement
Ce que disent les chiffres !!!
Le 6 juin vos élus vous ont énoncé les voies stratégiques incontournables à prendre par la Direction de TAS afin que notre entreprise continue à avoir un avenir dans cette industrie. Le marché spatial est en croissance forte, y compris sur les Télécoms, y compris sur des segments adressables par TAS.
Lors des réunions avec la Direction (CSE, CSEC, Commission Économique), la CGT a fait reconnaître à la Direction que la charge de travail est soutenue jusqu’à fin 2025 à CCEL et globalement sur les 2 sites.
Il est donc irrationnel de supprimer autant d’emplois et si vite, à CCEL comme dans le reste de l’entreprise.
Pour la BLTL, la situation est difficile mais pas aussi grave que la Direction le prétend.
Macroscopiquement nous avons un plan de charge qui ne nécessite pas qu’autant d’emplois soient supprimés. Ce chiffre de 1124 suppressions est fou, insensé. C’est une mise à mort de nos capacités industrielles spatiales !
Lors du CSEC d’hier Mercredi 12 Juin, la direction a reconnu qu’il s’agit d’un choix purement financier, pour espérer atteindre au plus vite une rentabilité de 7% du CA. Les élus et RS au CSEC ont donné 7 Jours à la direction pour changer son plan. Il faut continuer à mettre la pression sur la direction. Comme la CGT l’a fait en interpellant les élus et comme les salariés l’ont en se réunissant nombreux le 6 Juin.
Pour la CGT, même si c’est essentiel, et nous le faisons, il ne suffira pas de travailler dans les instances représentatives du personnel pour que la Direction revoie son plan et préserve notre site et la production.
La façon dont on pense le monde conditionne notre façon d’agir sur lui. Chaque organisation syndicale doit pouvoir donner son analyse pour que vous puissiez réfléchir et vous forger votre propre avis.
Toutes et tous concernés : ceux dont le poste est menacé,
et ceux qui devront ramer plus fort au sein d’une structure inadaptée !